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Textes liturgiques
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Vendredi 5 octobre 2012
26e semaine du temps ordinaire

Textes liturgiques © AELF, Paris

Première lecture : Livre de Job, chapitre 38,1...40,5
  Du milieu de la tempête, le Seigneur dit à Job : « Quel est celui qui, sans rien y connaître, défigure la Providence ? Prépare-toi au combat, comme un brave. Je vais t'interroger, et tu m'instruiras. As-tu, une seule fois dans ta vie, donné des ordres au matin, assigné son poste à l'aurore, pour qu'elle saisisse la terre aux quatre coins et en fasse tomber les méchants d'une secousse ? Elle donne à la terre sa teinte vermeille, elle la colore comme un vêtement ; elle enlève leur lumière aux méchants et brise leur bras qui se levait. Es-tu parvenu jusqu'aux sources de la mer, as-tu exploré le fond de l'abîme ? As-tu découvert les portes de la Mort, l'entrée du pays de l'ombre ? As-tu idée de l'immensité de la terre ? Dis-le donc, si tu sais tout cela ! De quel côté habite la lumière, quelle est la demeure de l'obscurité ? Peux-tu cerner son domaine, reconnaître les sentiers de sa maison ? Tu peux le savoir, car tu étais déjà né, toi qui comptes un si grand nombre de jours ! »
Job répondit alors au Seigneur : « Je suis trop peu de chose, que puis-je te répondre ? Je mets la main sur ma bouche. J'ai parlé une fois, je ne dirai plus rien ; j'ai parlé deux fois, je n'ai plus rien à ajouter. »
 
Psaume 138 (139) : Conduis-nous, Seigneur, sur le chemin d’éternité.
 

Tu me scrutes, Seigneur, et tu sais !
Tu sais quand je m'assois, quand je me lève ;
de très loin, tu pénètres mes pensées.
Tu me devances et me poursuis, tu m'enserres.

Où donc aller, loin de ton souffle ?
où m'enfuir, loin de ta face ?
Je gravis les cieux : tu es là ;
je descends chez les morts : te voici.

Je prends les ailes de l'aurore
et me pose au-delà des mers :
même là, ta main me conduit,
ta main droite me saisit.

C'est toi qui as créé mes reins,
qui m'as tissé dans le sein de ma mère.
Je reconnais devant toi le prodige,
l'être étonnant que je suis :

 
 
Evangile selon saint Luc, chapitre 10,13-16
  En parlant aux soixante-douze disciples Jésus disait : « Malheureuse es-tu, Corazine! Malheureuse es-tu, Bethsaïde ! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez vous avaient eu lieu à Tyr et à Sidon, il y a longtemps que les gens y auraient pris le vêtement de deuil, et se seraient assis dans la cendre en signe de pénitence. En tout cas, Tyr et Sidon seront traitées moins sévèrement que vous lors du Jugement. Et toi, Capharnaüm, seras-tu donc élevée jusqu'au ciel ? Non, tu descendras jusqu'au séjour des morts !
Celui qui vous écoute m'écoute ; celui qui vous rejette me rejette ; et celui qui me rejette rejette celui qui m'a envoyé. »
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