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Textes liturgiques
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Mardi 15 juillet 2014
15e semaine du Temps ordinaire

Textes liturgiques © AELF, Paris

Première lecture : Livre d'Isaïe, chapitre 7,1-9
  Au temps d'Acaz, roi de Juda, Raçône, roi de Syrie, et Pékah, roi d'Israël, montèrent contre Jérusalem pour l'attaquer, mais ils ne purent lui donner l'assaut. Lorsqu'on apprit, au palais du roi, que l'armée syrienne avait pris position en Éphraïm, le roi et son peuple furent secoués comme les arbres de la forêt sont secoués par le vent. Le Seigneur dit alors à Isaïe : « Avec ton fils qui s'appelle 'Un-reste-reviendra', va trouver Acaz, au bout du canal du réservoir supérieur, sur la route du Champ-du-Foulon.
Tu lui diras : 'Garde ton calme, ne crains pas, ne va pas perdre cœur devant ces deux bouts de tisons fumants, à cause de la colère bruyante du roi de Syrie et du roi d'Israël. Oui, la Syrie a décidé ta perte, en accord avec Éphraïm et le roi d'Israël. Ils ont dit : Marchons contre le royaume de Juda, pour l'intimider ; pénétrons chez lui pour l'obliger à se rendre, et nous lui imposerons comme roi le fils de Tabéel. Mais voici ce que dit le Seigneur Dieu : Cela ne tiendra pas, cela ne sera pas, car la capitale de la Syrie, c'est Damas, et le chef de Damas, ce n'est que Raçône ; la capitale d'Éphraïm, c'est Samarie, et le chef de Samarie, ce n'est que Pékah. Or, dans soixante-cinq ans, Éphraïm, écrasé, cessera d'être un peuple. Si vous ne tenez pas à moi, vous ne pouvez pas tenir.' »
 
Psaume 47 (48) : Jérusalem, cité de Dieu, le Seigneur te maintient pour toujours !
 

Il est grand, le Seigneur, hautement loué,
dans la ville de notre Dieu,
sa sainte montagne, altière et belle,
joie de toute la terre.
La montagne de Sion, c’est le pôle du monde,
la cité du grand roi ;
Dieu se révèle, en ses palais,
vraie citadelle.
Voici que des rois s’étaient ligués,
ils avançaient tous ensemble ;
ils ont vu, et soudain stupéfaits,
pris de panique, ils ont fui.
Et voilà qu’un tremblement les saisit :
douleurs de femme qui accouche ;
un vent qui souffle du désert
a brisé les vaisseaux de Tarsis.

 
 
Evangile selon saint Matthieu, chapitre 11,20-24
  Jésus se mit à faire des reproches aux villes où avaient eu lieu la plupart de ses miracles, parce qu'elles ne s'étaient pas converties : « Malheureuse es-tu, Corazine ! Malheureuse es-tu, Bethsaïde ! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez vous avaient eu lieu à Tyr et à Sidon, il y a longtemps que les gens y auraient pris le vêtement de deuil et la cendre en signe de pénitence. En tout cas, je vous le déclare : Tyr et Sidon seront traitées moins sévèrement que vous, au jour du Jugement. Et toi, Capharnaüm, seras-tu donc élevée jusqu'au ciel ? Non, tu descendras jusqu'au séjour des morts ! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez toi avaient eu lieu à Sodome, cette ville subsisterait encore aujourd'hui. En tout cas, je vous le déclare : le pays de Sodome sera traité moins sévèrement que toi, au jour du Jugement. »
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